In english below ! ☟
Tant à dire, si peu de le temps pour le faire. Synthèse, donc.
Caméra sortie cette fois non pas pour l’évidente intensité de l’épandage, mais pour celle des ondes utilisées pour manipuler les particules composant cette couche nuageuse synthétique, ondes qui font apparaître et disparaître une partie de ces “nuages” un peu comme les pigments sur la peau du calamar.
Ce jour, toujours plus d’épandage d’une diabolique discrétion, composé à l’heure filmée de traces partielles, déposées sur ou à proximité d’amas déjà formés. Les longues traces classiques d’un bout à l’autre du ciel étaient quant à elles visibles normalement au petit matin. Elles l’étaient également la journée mais cette fois de façon quasi imperceptible car vaporisées beaucoup, beaucoup plus haut que les autres et dissimulées par l’épaisse couverture où plus bas, d’autres pilotes, en infatigables peintres de l’effondrement, font du “on-off” et déposent discrètement toujours plus de matière, touche par touche, trace après trace.
Malheureusement, à l’exception des quelques vrais nuages qui se forment au début en bas de l’écran, presque tout ce que l’on voit dans cette vidéo est artificiel, et la couverture, tantôt terne et grisâtre, tantôt d’un blanc anormalement iridescent, ne fait que dériver comme une masse morte, quand elle n’est pas en train d’apparaître et de disparaître, un peu comme si Dieu jouait avec de l’encre invisible.
A noter : les avions avec une traînée courte permanente (discutés dans l'épisode précédent) ET ceux qui peuvent allumer et éteindre celle-ci (et sont responsables des longues traînées que nous ne connaissons que trop bien, mais aussi de celles, partielles et discrètes, sur lesquelles nous nous concentrons aujourd'hui) sont des avions de géo-ingénierie. MAIS ils sont différents et sont utilisés de façon différente, parfois de concert, et parfois non.
D'après ce dont j'ai toujours été témoin, il existe deux types de jets de géo-ingénierie : ceux qui pulvérisent les grosses chemtrails habituelles (ET sont capables d'allumer et d'éteindre), et ceux qui ont TOUJOURS ce court panache qui se dissipe presque instantanément, que les nouveaux éveillés confondent avec des contrails alors que ce n'est pas le cas (cf l'épisode précédent, et le brevet pour « supprimer » les « contrails »), de la même manière qu'ils confondent les artefacts artificiels avec de vrais nuages… Et en matière de chemtrails, cette connaissance ne peut s’acquérir qu'en regardant attentivement le ciel, suffisamment longtemps pour voir comment les traînées se comportent, de désagrègent et se réagrègent… ou en regardant des timelapses !
Certains jours, vous verrez ces deux types de jets voler en duo, côte à côte, mais clairement, les deux types sont aussi utilisés au quotidien de façon indépendante.
Too much to say, too little time to edit
and too little audience for me to take more time </3
Recorded not because of the obvious spraying but because of the obvious (and scary ! since I work under the roof and see that shit going on right on top of my head all day long !) emf manipulation of the artificial cloud cover, that can make some of these “clouds” appear out of nowhere, just like the pigments of the skin of a squid.
That day, more artistic, super discrete spraying with full trails but only very high (unlike the usual early bird ones that obnoxiously sit right under your nose), and lower jets shitting only bits of very volatile trails into already defined cloud artefacts. Sadly, aside from the few small clouds forming in the beginning, pretty much everything we see here is synthetic…
Note : the planes with a permanent short plume (see previous episode) and the ones that can turn it on and off (like the ones we’re focusing on today) to do the artistic bit by spotting a “cloud” and spraying just a tiny trail that will merge right into it) are BOTH geoengineering jets, BUT they are different and perform differently, sometimes together, sometimes not.
From what I’ve always witnessed, there are two types of geoengineering jets : the ones that spray the long trails we know all too well (AND are able to turn it on and off), and the ones that ALWAYS display a quickly dissipating short-plume, that even our newbies confuse with contrails when they are not (see ep #2 and how there’s a patent to "suppress” “contrails”), the same way they confuse artificial cloud artifacts with true clouds… and when it comes to chemtrail knowledge, you can only acquire it by watching the sky intently, long enough to see the trails’ behaviour and how they disaggregate and reaggregate… or by watching timelapses !
Some days, you will witness these two types of jet fly in duo, right by each other, but both types definitely perform independently everyday.
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